1. |
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L'Effet m'a satisfait, comment faire autrement?
J'suis l'faiseur de mes faits, pas facile de dire non
Comme de fermer les yeux, quand l'éclair est flagrant
J'suis l'fils du fils du feu et celui de la fille du vent
J'suis l'homme auxx mille couleurs, au mille coulures à l'âme
J'peux pas nier mes traumatismes, sans m'exposer au drame
Sans m'exposer à c'que mes larmes se transforment en colère
J'peux que les assumer, trouvant en eux la force de faire
J'suis l'attraction du monde, l'aimant des mille collines
Corrige moi si j'me trompe, j'suis autant l'tronc qu'la cime
J'suis l'arbitre, j'suis l'ballon, le supporter, le joueur
J'tourne autour du soleil, tu peux tourner autour d'mon cœur
Mais j'suis l'Idole de personne, un exemple parmi d'autres
j'prends de la graine de chacun, mais y'a qu'un cul sur mon trône
J'suis l'insolent lésé, lassé de mes attitudes
En perpétuelle remise en question, rapport à mes études
J'suis d'l'air dans mes crises d'asthmes, de l'art dans mes crises d'être
J'suis l'instant éternel, j'suis d'la pommade sur d'l'hérpes
J'suis l'histoire à mon échelle et mon échine m'appartient
J'la courbe qu'avec l'accord des signes de mon instinct
Je suis l'nombril du monde, le héros d'ma story
et j'suis presque au bord du gouffre quand je perds le goût d'la vie
alors je vis des choses intenses, des nectars d'existence
J'fais l'souhait d'un équilibre d'vant les miroirs des évidences
Je suis l'appât du gain qu'il ne faut pas négliger
Comme oublier la tour en dessous d'laquelle l'or est logée
Ma bouche l'orée du bois enchanté de mes contes
Enchanté d'te connaître, ensemble on peut jeter nos montres
Car on est hors du temps, hors des restrictions physiques
On s'parle au delà des mots, autre chose émane de nos mimiques
Le sens-tu?.. L'imaginaire est grand
On est comme dans un livre avec des personnages vivants
On est l'écho du monde, l'outil de ses merveilles
Réceptacle de flux, concentrés d'étincelles
On est le présent, président nos présages
Prêcheur de bonne parole par la bonne mine de nos visages
On est 2, bientôt 3, bientôt 7 c'est la famille
Bientôt par notre osmose, on asmaquera l'infamie
On est le peuple, on est la masse, une flaque de gouttes d'eau
la masse des masses c'est l'monde, océan de flaques d'eau
On est l'histoire de notre échelle, l’échappée belle est tout au bout
Destination commune, si ton "je" devient un "nous"
On est peu à le savoir, on est beaucoup à l'être
Des humains en puissance, des lames au dessus des marionnettes
On est mari et femme, copain-copain, copine-copine
On est mari-mari, même femme et femme ou concubine
Les titres sont multiples, on est ensemble en vérité
Grossièrement parlant, je suis ravi d'te rencontrer.
On est mari et femme, copain-copain, copine-copine
On est mari-mari, même femme et femme ou concubine
Les titres sont multiples, on est ensemble en vérité
Grossièrement parlant, je suis ravi de te rencontrer.
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2. |
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Je m'empare d'un stylo, et je crée par ce biais
Je focalise mon attention, sur ce bout de papier
Et mon palpitant se calme, j'brandis mon existence
C'est ma médecine mentale, qui m'extirpe de l'errance
Mes couleurs se dessinent, je ne suis plus fantôme
Présent en cette instant, vivant sans pâle copie
J'ai l'regard qui s'affûte, mes tréfonds s'auditionnent
J'écris les cris d'mon âme, l'espoir de mon ésprit
Et en cette instant, plus d'passé, ni d'futur
Seul une feuille pour miroire, thérapie d'écriture
Je conscientise le flou, mon corps me discute
D'une auto-analyse j'en sors les causes de mes disputes
Le cœur en paix, après touts types de création
Tant qu'celle-ci vient du cœur, le cœur célèbre l'action
Célébration transcendentale, non pas dans la dentelle
Tentant l'éclaircissement de mes crises existentielles
Ça peut rythmer ma vie, cadrer mon existence
Activer des circuits, parfois laissés en dés-errance
Déserter l'inertie, le corps ankylosé
Encore un texte de plus qui me sert à m'apaiser
À peser l'pour et l'contre, à dessiner mes décisions
Parfois devant cette feuille, j'passe de glaçon à frisson
De ce stylo émanent des lumières et des larmes
Que mon armure bloquait et qui provoquaient des drames
Donc sûr qu'ça a sa place, sa fonction essentielle
Ça structure par le haut, pas par la taille des chaînes
Ça chine la moindre faille, les chemins du changement
Ça cherche les chants de l'âme, les accompagnent en sifflotant
Écrire c'est granuleux, reflet comportemental
Comporte mes habitudes, comporte mon mental
Les crises passagères, les qualités de mon être
la fonction de mes lettres, peut être d'apprivoiser ma bête
Alors à cœur perdu, le voici devant vous
Ce texte ou je vois l'or quand tous y voient la boue,
Car notre lecture et à l'image de notre état d'esprit
Comme tout nos actes d'ailleurs et ça j'l'ai bien compris
Alors là devant vous, où tout peut paraître flou
Y'a c'texte ou je vois l'or quand tous y voient la boue
Car notre lecture et à l'image de notre état d'esprit
Comme tous nous actes d'ailleurs, Est-ce que t'as bien compris?
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3. |
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Max l'1primer : Bâtisse enfumée mais aucune flamme a portée de vue.
Un homme plein d'idées mais coincé dans un cul de sac
T'es enfermé dans le tic tac, pris la main en plein dedans
T'as voulu te battre pour ta survie mais on t'a pas suivi.
Un manque de puissance phénoménal une énergie vitale
Un truc liquide comme Vittel stocké a pleine veine
La super potion des irréductibles, un bonnet rouge
Et te voilà devenu celui appelé l'indestructible.
Les poignets serrés t'as osé faire le hold up
Moi je mise tout ce que j'ai sur Sticky Jack et Benenuts
Il te Faut la rage du conquérant et l'attitude de l'opposant
La langue bien pendue te voilà devenu le rebut.
Faut oser lever les yeux, observer devant toi l'horizon
Quand le coup de pouce te touche, bouge tes ambitions.
T'as raison d' négliger l'entraînement, t'as ton entendement
Tes rêves stockés au fond d'ton comportement.
Tu tes camouflé te v'là devenu invisible
T'as l'invincibilité d'un guerrier intrépide
Pour toi les sentences sont des banalités
et ouais tu vois ta vie à la façon cape et épée.
T'as enfilé les gants et t'as frappé les mentalités
T'es boosté à bloc et t 'esquives tous les croche pieds.
T'as l'armure de robocop en guise de pare pierre
Et la vitesse de Gonzales pour laisser faux derrière.
Tu seras sur le ring quand retentira le gong
Et comme le King ça cogne comme personne
Coup de King Kong T'es pas l'mec quelconque.
Mais celui qui au final récoltera la médaille.
Ouais gars c'est la pagaille, mais tu l'as pris tel le Jedi
Abstraction d'fierté, niveau costaud, évite les vagues comme Cousteau
Vas'y fonce zéro rémission
Encore un peu d'galon Cousteau devient Poséidon
C'est l'histoire du battant, la fighting story
Qui lâche rien dans son monde, dans son cœur et dans sa vie
C'est l'histoire du battant, la fighting story
Qui lâche rien dans son cœur, dans son monde, dans son esprit
C'est l'histoire du battant, la fighting story
Qui lâche rien dans son monde, dans son cœur et dans sa vie
C'est l'histoire du battant, la fighting story
Qui lâche rien... qui lâche rien
Deinos : Effectivement, l’effet est sidérant
C’est excellent à quelle point j’suis vivant
J’confirme c'que tu dis, j’ai du jus dans l’moteur
Dans ma sueur y’a du cœur, j’compte pas m’arrêter là
J’ai gravi des obstacles, j’ai trouvé la parade
Mais pris dans s’défiler, j’restait une proie chassable
À chaque chose y’a son temps, chaque chasse à ses contours
Les solutions d’hier sont à mettre au goût du jour
Mais mes passions ne sont pas
Passagère c’est sur ça
Sur ceux j’doit rester droit
Pour n’pas me faire avoir
J’dois vibrer plus d’une fois
Faire détonner ma voix
Pour détrôner mon masque
et sortir de l’isoloir
Les apports… De chaque facettes de mon être
Ne sont plus vraiment plus à négliger
Car j’ai l’mord… pour trouver l’équilibre
Entre les pôles actifs, de mon identité
Je fournie un effort en r’lancant la machine
En dérouillant le film, pour ficeler mon intrigue
Facile j’tiens pas l’dire, le combat ne cesse pas
Mais si l’être s’active les forces sont déculpaple
Des coupables j’en trouverais 100, si j’n’assume pas l’défi
De me réaliser, de peindre mon récit
Des coupables j’n’en trouverais qu’un, en zieutant une glace
En zieutant devant moi, je retrouverai mon espace
Des coupables y’en a des tonnes, si doit tonner la basse
La bas c’est la même chose, chacun doit s’voir en face
En place, pour la suite, les battants tourne une page
Autre phase du périple, âpres l’Recyclage de Rage
C’est l’unification, Reforge de l’épée
Plus solide plus complète, plus équilibré
J’me construis consciemment désormais ça change tout
Et les solutions d’hier sont à mettre au goût du jour
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4. |
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Opération coup d’poing, pointage sur les barricades
Nos vies sont des manifs, la paix est revendicable
Philosophie de comptoir à mettre en pratique
Les idées sont vivantes dès l’instant qu’elles s’appliquent
Ouais j’ai pris au sérieux, mes idées lumineuses
Bien qu’elles n’avaient de réaliste, pas grand-chose au départ
Il a fallu la flamme d’un idéaliste heureux
Pour voir jaillir les germes, du changement de l’histoire
Guérir ma décision, première d’une longue série
Qui viendra s’compléter par celle de s’aguerrir
En rajoutant le A d’amour et d’avancement
Je fais ma liste de vie, prioritairement.
Lorsqu’un Homme décide, de tout son être de vivre
Toutes ses cellules s’activent, son cœur se réanime
Le septième souffle, se trouve, on l’a tous su
Il ne reste d’impossible que ce qui n’est pas voulu
Comment Comment ? Comment ça s’passe ?
Prends donc confiance du cœur et d’l’anti poisse
Comment Comment ? ça s’danse ?
Prends de l’anti poisse du cœur et d’la confiance
Les décisions sont grandes, quand grande est l’ambition
Fais gaffe à c’qu’tu souhaites, t’en paieras l’addition
C’est à peu près c’qui ressort de mon débat interne
Tu veux la liberté , alors reprends les rennes
De ta vie c’est ainsi, que s’poursuit l’aventure
Les bases sont établies, désormais monte les murs
Vis vraiment avec toi et vois ce qui en ressort
Gérer la paix dans l’monde ? Commence par gérer ton corps
Dans c’domaine y’ a du taf, y’a pas de crise du travail
Y’a une place de patron, dans chaque homme, chaque entraille
Si Nos corps sont des terres, qu’les puissants colonisent
Les guerres d’indépendance se mènent dans nos cellules grise
Comment Comment ? Comment ça s’passe ?
Prends donc confiance du cœur et d’l’anti poisse
Comment Comment ? ça s’ danse ?
Prends de l’anti poisse du cœur et d’la confiance
Coup de poing sur la table, sur les « i » qu’on délivre
Délibère nos choix, comme s’tournent les pages d’un livre
Même si des paragraphes nous demandent, plus de temps que d’autres
Les chapitres s’enchaînent, pour déchaîner les nôtres
Sur ma vie j’ai des droits, une société m’habite
Ma bite, mes beats de cœur, j’suis l’beatmaker de mes rythmes
Chef d’orchestre d’organe, d’orgasme à l’apogée
A Chaque liesse de mon peuple, on me verra transcendé
Coup de poing sur la table, fermer la parenthèse
La story peut reprendre, mieux saisi est le thème
La lumière chemine elle éclaire nos lanternes
De mine lente et terne, à bille roulante et ferme
A l’habile Billy, Billy haut Billy bas
Des hauts des bas Billy, stabilise les débats
Balisant tous ses blèmes, Billy brise les spirales
Les spirales lentes et ternes, Billy combat son mal.
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5. |
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On m'a dit les gens savent, j'ai répondu, les gens sèvent
Les gencives saignante à force de trop brosser
De trop bosser les gens s’esquintent la santé
S'esquintent le talon, grince le parquet
On m'a dit la fin arrive, je réponds, la fin d'un rêve
La feinte d'un règne qui s'croyait supérieur
Mais super antérieur aux principes « égaleurs »
Et à l'heure qu'il est... Ce monde n'est pas qu'le leur
On m'a dit la roue tourne, j'ai répondu la routine
La roue terne qui veut... qu'on écrase son voisin
C'voisin vociférant pour la fin de ce train-train
Mais traînera devant la scène, l'erreur du rêve de gain
On m'a dit c'est pas une vie et j'leur réponds c'est pas un vœu
Et puis c'est pas à vous de m'expliquer ma mission
Ma missive était claire, j'travaille à l'intuition
Á l'intention de l’ancienne et d'la prochaine génération
On m'a dit crois en l'autre, j'ai répondu , j'crois en l'Être
J'crois en l'art, j'crois aux lettres et aux degrés de lecture
Lecteur d'une planète à plusieurs natures,
Naturellement je veux opter pour l'arme la plus pure
On m'a dit K-Maro, j'ai répondu cas navrant
Car j'suis un gars navré, des cas marelle sur nos écrans
L'écart ils le produisent par la culture de masse
Ils nous broient nos repères, qu'on s'identifie à la crasse
On m'a dit des gros mots, j'ai répondu des gros merdes
Les grands mots je les garde pour vous parler d'amour
Amère est notre bête quand on veut sortir du four
Les fous-rires interdits, on écoute les discours
On m'a dit vas prendre l'air, j'ai répondu, j'vais prendre l'or
J'vais prendre cher, saisir ma chance dans mon quotidien
Quotient intellectuel comme arme sur mon chemin
Cheminant par instinct... sur ce fil fin.
On m'a dit mégapole, j'ai répondu, Méga-pale
La pâleur de nos villes, pourquoi la cultiver
Quand on sait que la déprime, y est toujours liée
L'industrie d'la santé serai-ce une cause cachée ?
On m'a dit c'pas fameux, j'leur réponds, c'est pas fini
Et puis c'est pas fané, j'ai encore de la rage à recycler
Sans ressasser l'passé, à part si c'est constructif
Instructif maintenant, que ça devienne positif
On m'a dit mais t'es fou, j'ai répondu métaphore
Mais t'es fort, faramineux, t'as l’œil mais tu vois bleu
Les poches de frustration remplies de la vie des autres
L'avidité de ta lâcheté, veut rendre coupable l'audace des nôtres
On m'a dit reste cool, j'ai répondu, « clic clic boom »
Je kick lourd pour partager, l'énergie d'mes écrits
Mes cris, je n'les étouffe, non, j'les sors artistiquement
Ça anoblit le geste, ça gravit les échelons
Car on m'a dit pas de blague, j'ai répondu pas de blème
Plus j'suis blême, plus on me blâme, alors mon mal est à bannir
Á bâtir est mon rêve, j'dois pas l'laisser s'enfuir
S'en suivrait maléfisme, j’enrichirais l'empire
On m'a dit mort aux vaches, j'ai répondu mort au moi
Au moi d'émoi haineux, à l’ego deg de la vie
De la victoire de l'âme, s'ouvrira l'paradis
Parodique est notre ordre, d'illusion il s'nourrit
Car on m'a dit marche ou crève, j'ai répondu j'vole et j'rêve
Je rafle mon butin, soignant les plaies du monde honnête
De mon divan j'écris les présages de mon être,
Les prières planétaires, c'qu'on m'a dit j'le répète
Car on m'a dit, c'est la crise, j'ai répondu c'est la crasse
C'est le creux de l'histoire, et nous voici dans l'noir
Les nerfs se « raidifient » si au loin on ne sait voir
Que c'est la fin d'un cycle et que l'age d'or est à prévoir.
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6. |
L'Épée - Deinos MC
02:50
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Aie Aie Aie... Je laisse parler ma plume
Sur le pas de ma porte se parchemine ma position
Pâleur en pour-parler, les palissades se pourfendent
J'ai des paillettes dans les paumes, un parapluie sous mon blouson
Ma patrie sous mes pattes, la bave au pied je pars ailleurs
J'apostrophe ma politique, pour bien parler de ma bataille
Je participe sans tords à la plongée sous l’épiderme
Le plein plaisir de mon esprit, m'apporte la preuve de mes trouvailles
L'apologie de l'épidémie très peu pour moi, même dans le noir
L'appétence pour la pendaison, j'suis pas partant pour la promouvoir
Mes pensée malhabiles me pourchassent dans mes pires instants
J'm'efforce de payer ma part et prendre le large pour un moment
Les pipelettes s'empipotent et patati et patata
Les partis se poursuivent jusqu'à pas d'heure et plus que ça
Moi j'ai un plat du pied si la planète est penalty
J'ai la potion du druide, ça c'est un elfe qui me l'a dit
Alors ramper face au puissant, ses puits sans fond, sans grand pouvoir
Stupide comme de prendre un parasol en Picardie
La police se parfume à la justice pour guerroyer
Contre une que le système a r population endu insoumis
Les plaintes pourchassent toutes les peuplades devenues aveugles
Les pansements ont pris l'eau, les parasites plongent dans les plaies
Le paradis déploie ses ailes, se penche sur tout ce qui vaut la peine
Les bonnes âmes brandissent des lettres en braille pour aiguiller les vrais
Sous les pavés la page, j'pige pas les piges des quotidiens
La piste est parsemée d’embûches, faut du prodige pour rester bien
Certains pilonnent leurs potes, d'autres les portes pour ne pas être seul
Pour sûr y'en a certains qui les portent dans leur cœurs
Moi j'ai l'palpitant qui (POM POM POM) Quand j'parachute ma part de rêve
Suffit qu'un beat fasse (BOOM BOOM shake) pour que ma peur m'accorde une trêve
J'ai des plans sur la planète et des placements de capitaux
Mais please n'en parle pas trop, j'ai pas encore serré l'étau
Apparemment les paresseux ne l'seraient pas dans leur légende
Dans l'épopée d'leur vie, c'est une question d'initiative
La parole participe à l'élaboration du monde
Une prière est une graine dans la conscience collective
Les poutres se parcourent et passent par-dessus l'enfer
La portée de son corps et important pour ne pas tomber
Partir paré, faut s'préparer pour prendre les bons passages
Préférer le prairies, au bric à brac mauvais présages
Ma propre épée j'aiguise pour parvenir à tout tenir
Une prose que je perfectionne, pour détenir patience pépère
Je postillonne pour arroser mes vers, mes rêves n'ont pas de limites
A part celle de l'amour, la poésie polie l'éclaire
Ma pirogue tient le cap, les piranhas se pètent les dents
Mon précieux parchemin se déploie de présent en présent
La lettre "P" dans l'paragraphe, y'en a pas mal tu peux compter
Les contraintes sont piédestal pour parvenir à tout péter.
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7. |
Pour Ceux - Deinos MC
10:12
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Pour Ceux qui ont grandi entre misère et calme,
qui n'ont pas su s'positionner entre lumière et marbre
À ceux qu'on a poussés à renier leur entourage,
voici quelques rayons du magasin, enfant d'la rage
Donc c'est pour ceux... qui ont grandi trop vite
Et qui ne peuvent que rigoler quand on leur parle de république
À ceux à qui on a masqué la porte de secours
Mais ferme ton portail et dis toi bien qu'on fera le tour
C'est pour ceux qui ont marché, la tête baissée dans l'mur
Tant ils se sont inclinés sous le poids de l'inculture
À ceux mariés... aux chutes, au mal de vivre
Votre combat est le mien et vous en parler me délivre
Donc pour ceux mal orienté, guidé afin d'gonfler
Les effectifs des ouvriers, d'moins en moins qualifié
À ceux sans cote de maille, sans bagage, comme ils disent
J'annonce que voyager, ça remplit les valises
C'est pour ceux qui font des loopings sur des chemins soi-disant plat
Qu'on commencé à croire aux blablablas de nos états
À ceux taillé dans l'rock, les blocks mal cimentés
Si l'enfer est visible, à nous d'construire la face caché
Donc c'est pour ceux sont pour nous, pour nous en quête d'un autre
D'une autre chose en nous, d'une paix qu'on doit s'faire notre
C'est pour ceux sont pour nous, pour nous en quête de vie
D'une vie loin des broutilles, loin des saccages qu'on applaudies
Pour ceux qui en on besoin, pour ceux qui s'guident aux signes
Pour ceux qui tourne la page, pour ne pas salir celle du livre
Pour ceux qui s'reconnaissent, pour ceux qui cherche le nord
Pour ceux qui on compris qu'c'était en eux qu'ce trouvé l'or
♫♫♫
Pour ceux d'ma décennie, pour ceux d'avant, ceux d'après
Sans défense dans une guerre qu'on qualifie de progrès
Pour ceux marié aux vices par peur de rester seul
Même un être seul, pour retrouver sa boussole
Pour lâché dans l'ombre, nourrie aux flashes obscures
À la merde paillettisé, qualifié de culture
Pour ceux lâché dans l'vide, avec des trous dans l'parachute
J'envoi un voile d'urgence, un récital de mas luttes
C'est pour ceux dont l'jerrican, s'enflamme d'une étincelle
Qui s'on tenté de se maitriser, en fumant de la zeb
C'est pour ceux pour qui ça n'suffit pas, plongé dans la spirale
Trouver un exutoire afin d'recycler votre rage
C'est pour ceux dont l'mal empire, brouillé avec la vie
Et qui on constaté que la mal chance les poursuivent
C'est pour ceux dans le cercle, infernale des rancunes
La vie s'ouvre aux ouverts mais se ferme dans l'amertume
Donc c'est pour ceux sont pour nous, pour nous en quête d'un autre
D'une autre chose en nous, d'une paix qu'on doit s'faire notre
C'est pour ceux sont pour nous, pour nous en quête de vie
D'une vie loin des broutilles, loin des saccages qu'on applaudies
Pour ceux qui en on besoin, pour ceux qui s'guident aux signes
Pour ceux qui tourne la page, pour ne pas salir celle du livre
Pour ceux qui s'reconnaissent, pour ceux qui cherche le nord
Pour ceux qui on compris qu'c'était en eux qu'ce trouvé l'or
♫♫♫
C'est pour ceux dont l'enfance, c'est achevé d'un coup
Coup de théâtre traumatisant, coup de marteau qui change tout
À ceux dont les blessures sont encore saignante
L'amour possède les files afin d'recoudre les plaies béantes
C'est pour ceux trahit, par l'monde des bizounoursse
Qui subissent l'électro-choque de la cruauté des chiens
À ceux piqué à vif, dés l'entré dans leurs couches
Abusé par le type censé vouloir leurs biens
Pour ceux qui sont faya, de la drogue pour se recaler
Pour assumer le spontané de leur envie d'aimer
Pour ceux qui s'trompe de route, égaré en chemin
J'l'ai compris, ouais c'est vrai, faut savoir d'où l'on vient
C'est pour ceux jamais content, toujours un trucs qui manque
La paix se trouve en nous, pas dans les comptes en banques
Car de l'est← à l'ouest→, du sud↓ au nord↑
Pour ceux qui on compris qu'c'était en eux que se trouvé l'or.
♫♫♫
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8. |
Tenir Bon - Deinos MC
04:38
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Ce n’est pas l’moment d’flancher, de flasher sur le vide
De frissonner de flegme face à la vue d’la rive
L’effort touche à sa fin, juste avant l’évolution
Demain, une autre histoire, donc aujourd’hui on tient bon
Lâche rien, limite la casse, bientôt le roue ne-tour
On tire des l’çons d’la page, mais l’encre y coule encore
Même si son dernier mot sera un point tout court
A nous de faire en sorte qu’il n’augure pas la mort
L’espoir reste permis même si noir est le tableau
Sous la neige les graines, sous la glace le plan d’eau
Important d’purger l’hiver, de vivre c’qu’on a à vivre
De le relativiser et d’s’servir de c’qu’il indique
Ce ne pas l’moment d’flancher de déboucler la boucle
Franchement fait c’que tu veux, mais moi c’n’est pas la fin d’ma routes
Le raid ce perpétue et les rides s’accumule
Mais dès qu’l’rideau se lève chacun quitte sa bulle
Dernière étape du périple, la suite c’est le début
L’Age d’or ce constitue de tout c’qu’on a vécu
De c’qu’on en a tiré afin d’en ressortir plus fort
C’est l’temps du point finale, non pas celui du point mort
L’Age d’or arrive en balle, à nous d’orienter le contrôle
D’arrimer nos navires afin de traverser les pôles
De dépâlir nos visages, pour contrôler l’virage
Viser le but commun, de la paix sur nos villages
Tenir l’coup même s’il faut rebondir sur les cordes du ring
Tenir l’anneau d’alliance, nous rassembler dès que possible
Ça ressemble au temps fort des histoires précédentes
C’est l’ moment de rien lâcher, car nos survies en dépendent
Dépendent de maintenant et dans le creux d'la vague
On peut tenir le coup en surfant sur ses larmes
ce raccrocher au branches, ou se decrocher du tronc
Car descendre d'un échelon peut être une preuves de progression
Alors lâchons les fauves, faut voir c'qu'on leur infligent,
Allions la rage au bide, avec une construction solide
Solide et solidaire retrouvons la force de faire
Faisons pâlir nos aires de résigné suicidaire
Si j'vous dit de tenir bon, c'est bon dans le bon sens,
C'est des bon sang de bon soir, pour faire valser l'ignorance
Faire danser nos fardeaux, qu'ils cessent de nous peser
Au moins pour cinq minutes, afin d'voir la vie comme elle est.
Si j'vous dit de tenir bon, c'est qu'des solutions se trouve
Dans la persévérance, de la clarté en eau trouble
choisir, tenir sans fuir, faire front trouver l'courant
De l'émancipation, le cour d'eau du vivant
Les sources existent toujours, tari de mille façon
Le recyclage de rage, une part d'ma combinaison
Chercher l'utilité de la souffrance, et puis cristalliser
le message dans celle-ci, conseil a l'unanimité
A l'humaine condition tenir bon je lui souhaitent
La fin d'une journée, la seul chose qui nous restent
A part mes impressions j'n'ai rien à vous promettre
Ce relever en son être, ça relève bien d'une quête
La flamme primitive qui articule une vie
Tenir bon pour guérir, le ch'min qui nous suffit
En premier lieu d'un changement magistrale
Un équilibre qui s'vit est un équilibre qui soigne.
C'est c'que j'souhaite, devant les évidences
Tenir bon pour trouver, l'équilibre d'inteligence
C'est c'que j'souhaite, j'en ai fait plus d'un texte
Une promesse que j'répète, que j'm'atelle à transmettre.
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9. |
La Fin - Deinos MC
05:16
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La fin se veut cruciale, épopée marginale
L'hiver à rendu l’âme, le poisson ses écailles
Nos écueils... parfois s'écrivent tout seuls
Quand les forces de l'auteur, peu à peu perdent le fil
Finalement... On s'retrouve à s'guérir
À se rendre le deuil, de la rage possible
On a rayé nos carcasses, certains on percé l'moteur
Lâchés sans filet dans leur trou noir personnel
Que la paix les accompagne, les retrouve et les répare
Qu'ils repartent ou bien reposent, en paix et sans histoires
Sans histoires inachevées, à mon tour je m'excuse
J'accorde mon bon souvenir, aux cœur qui se diffusent
Que la paix les soulage, les grandisse, les apaise
Qu'il apparaissent ou reposent en paix et sans querelles
Sans querelles inexpliquées, moi j'm'excuse à mon tour
J'accorde ma paix , de corps aux cœurs d'amour
... C'est la fin d'un monde
... L'histoire qui nous succombe
… J'la respire avec toi
... On r'part une nouvelle fois
… C'est la fin de l'histoire
… Un nouveau point d'départ
… Sans retard de retour
…. Départ d'un nouveau tour
Je marque le coup, afin d'moins l'accuser
Trop souvent sans rien dire, finit par condamner
C'est con d'canner... mais que veux'tu ?
Quand trop longtemps ça grimpe, la pression explose et tue
C'est la fin pour tout l'monde, bientôt les sacs se vident
J'essaie de n'pas l'percer, pour garder l'essence de vie
Garder l'espoir de dire, un jour prochain j’espère
Qu'le temps a fait l'affaire, l'Histoire se récupère
Car cette fin créera du vide, que la vie va combler
Attendez vous à r'partir, un cycle va r'commencer
Ainsi soit'il... ce sera comme avant
Ou rien n'sera pareil, on évolue avec le temps
Cette fin je la célèbre, J'la serre une dernière fois
Vivre les choses à fond, c'est salvateur je crois
Alors pas d'regrets... ou alors pas pour toujours
et J'accorde ma paix, de corps aux cœurs d'amour
... C'est la fin d'un monde
... L'histoire qui nous succombe
… J'la respire avec toi
... On r'part une nouvelle fois
… C'est la fin de l'histoire
… Un nouveau point d'départ
… Sans retard de retour
…. Départ d'un nouveau tour
Dans l'fond j'veux pouvoir vivre, ma danse en liberté
Qu'ça soit permis à tous, devenus équilibrés
Légers, mariés à l'air, au feu, à l'eau, la terre
Ici enfant du monde, en cours est le transfert
J'me suis initié... C'est ainsi dans l'nouveau monde
Pas d'maître, mais des exemples, des questions, des réponses
Des référents pas supérieurs, ça tourne selon l'domaine
Nos forces, nos stratagèmes, j'étudie l'phénomène
J'sentais qu'c'était l'moment, j'me suis laissé porter
Après mon recyclage... j’entame Libre qui est
équilibre... c'est l'titre de mon Histoire
Et sachez que la fin est un nouveau point d'depart
Car maintenant je suis cap, able to be human
De maintenir mon cap, dans l’œil de la tornade
Alors en milieu stable, en édifice solide
J'peux soutenir un pilier, en être un sera ma prochaine cible
Ravi d'être à l'image du battant...
Dans une opération coup d'poing
On m'a dit que l'épée était pour ceux
Qui tenaient bon jusqu'à la fin... point
Fin...
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