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Libre Qui Est / Recyclage 2 Rage

by DEINOS MC

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1.
L'Effet m'a satisfait, comment faire autrement? J'suis l'faiseur de mes faits, pas facile de dire non Comme de fermer les yeux, quand l'éclair est flagrant J'suis l'fils du fils du feu et celui de la fille du vent J'suis l'homme auxx mille couleurs, au mille coulures à l'âme J'peux pas nier mes traumatismes, sans m'exposer au drame Sans m'exposer à c'que mes larmes se transforment en colère J'peux que les assumer, trouvant en eux la force de faire J'suis l'attraction du monde, l'aimant des mille collines Corrige moi si j'me trompe, j'suis autant l'tronc qu'la cime J'suis l'arbitre, j'suis l'ballon, le supporter, le joueur J'tourne autour du soleil, tu peux tourner autour d'mon cœur Mais j'suis l'Idole de personne, un exemple parmi d'autres j'prends de la graine de chacun, mais y'a qu'un cul sur mon trône J'suis l'insolent lésé, lassé de mes attitudes En perpétuelle remise en question, rapport à mes études J'suis d'l'air dans mes crises d'asthmes, de l'art dans mes crises d'être J'suis l'instant éternel, j'suis d'la pommade sur d'l'hérpes J'suis l'histoire à mon échelle et mon échine m'appartient J'la courbe qu'avec l'accord des signes de mon instinct Je suis l'nombril du monde, le héros d'ma story et j'suis presque au bord du gouffre quand je perds le goût d'la vie alors je vis des choses intenses, des nectars d'existence J'fais l'souhait d'un équilibre d'vant les miroirs des évidences Je suis l'appât du gain qu'il ne faut pas négliger Comme oublier la tour en dessous d'laquelle l'or est logée Ma bouche l'orée du bois enchanté de mes contes Enchanté d'te connaître, ensemble on peut jeter nos montres Car on est hors du temps, hors des restrictions physiques On s'parle au delà des mots, autre chose émane de nos mimiques Le sens-tu?.. L'imaginaire est grand On est comme dans un livre avec des personnages vivants On est l'écho du monde, l'outil de ses merveilles Réceptacle de flux, concentrés d'étincelles On est le présent, président nos présages Prêcheur de bonne parole par la bonne mine de nos visages On est 2, bientôt 3, bientôt 7 c'est la famille Bientôt par notre osmose, on asmaquera l'infamie On est le peuple, on est la masse, une flaque de gouttes d'eau la masse des masses c'est l'monde, océan de flaques d'eau On est l'histoire de notre échelle, l’échappée belle est tout au bout Destination commune, si ton "je" devient un "nous" On est peu à le savoir, on est beaucoup à l'être Des humains en puissance, des lames au dessus des marionnettes On est mari et femme, copain-copain, copine-copine On est mari-mari, même femme et femme ou concubine Les titres sont multiples, on est ensemble en vérité Grossièrement parlant, je suis ravi d'te rencontrer. On est mari et femme, copain-copain, copine-copine On est mari-mari, même femme et femme ou concubine Les titres sont multiples, on est ensemble en vérité Grossièrement parlant, je suis ravi de te rencontrer.
2.
Je m'empare d'un stylo, et je crée par ce biais Je focalise mon attention, sur ce bout de papier Et mon palpitant se calme, j'brandis mon existence C'est ma médecine mentale, qui m'extirpe de l'errance Mes couleurs se dessinent, je ne suis plus fantôme Présent en cette instant, vivant sans pâle copie J'ai l'regard qui s'affûte, mes tréfonds s'auditionnent J'écris les cris d'mon âme, l'espoir de mon ésprit Et en cette instant, plus d'passé, ni d'futur Seul une feuille pour miroire, thérapie d'écriture Je conscientise le flou, mon corps me discute D'une auto-analyse j'en sors les causes de mes disputes Le cœur en paix, après touts types de création Tant qu'celle-ci vient du cœur, le cœur célèbre l'action Célébration transcendentale, non pas dans la dentelle Tentant l'éclaircissement de mes crises existentielles Ça peut rythmer ma vie, cadrer mon existence Activer des circuits, parfois laissés en dés-errance Déserter l'inertie, le corps ankylosé Encore un texte de plus qui me sert à m'apaiser À peser l'pour et l'contre, à dessiner mes décisions Parfois devant cette feuille, j'passe de glaçon à frisson De ce stylo émanent des lumières et des larmes Que mon armure bloquait et qui provoquaient des drames Donc sûr qu'ça a sa place, sa fonction essentielle Ça structure par le haut, pas par la taille des chaînes Ça chine la moindre faille, les chemins du changement Ça cherche les chants de l'âme, les accompagnent en sifflotant Écrire c'est granuleux, reflet comportemental Comporte mes habitudes, comporte mon mental Les crises passagères, les qualités de mon être la fonction de mes lettres, peut être d'apprivoiser ma bête Alors à cœur perdu, le voici devant vous Ce texte ou je vois l'or quand tous y voient la boue, Car notre lecture et à l'image de notre état d'esprit Comme tout nos actes d'ailleurs et ça j'l'ai bien compris Alors là devant vous, où tout peut paraître flou Y'a c'texte ou je vois l'or quand tous y voient la boue Car notre lecture et à l'image de notre état d'esprit Comme tous nous actes d'ailleurs, Est-ce que t'as bien compris?
3.
Max l'1primer : Bâtisse enfumée mais aucune flamme a portée de vue. Un homme plein d'idées mais coincé dans un cul de sac T'es enfermé dans le tic tac, pris la main en plein dedans T'as voulu te battre pour ta survie mais on t'a pas suivi. Un manque de puissance phénoménal une énergie vitale Un truc liquide comme Vittel stocké a pleine veine La super potion des irréductibles, un bonnet rouge Et te voilà devenu celui appelé l'indestructible. Les poignets serrés t'as osé faire le hold up Moi je mise tout ce que j'ai sur Sticky Jack et Benenuts Il te Faut la rage du conquérant et l'attitude de l'opposant La langue bien pendue te voilà devenu le rebut. Faut oser lever les yeux, observer devant toi l'horizon Quand le coup de pouce te touche, bouge tes ambitions. T'as raison d' négliger l'entraînement, t'as ton entendement Tes rêves stockés au fond d'ton comportement. Tu tes camouflé te v'là devenu invisible T'as l'invincibilité d'un guerrier intrépide Pour toi les sentences sont des banalités et ouais tu vois ta vie à la façon cape et épée. T'as enfilé les gants et t'as frappé les mentalités T'es boosté à bloc et t 'esquives tous les croche pieds. T'as l'armure de robocop en guise de pare pierre Et la vitesse de Gonzales pour laisser faux derrière. Tu seras sur le ring quand retentira le gong Et comme le King ça cogne comme personne Coup de King Kong T'es pas l'mec quelconque. Mais celui qui au final récoltera la médaille. Ouais gars c'est la pagaille, mais tu l'as pris tel le Jedi Abstraction d'fierté, niveau costaud, évite les vagues comme Cousteau Vas'y fonce zéro rémission Encore un peu d'galon Cousteau devient Poséidon C'est l'histoire du battant, la fighting story Qui lâche rien dans son monde, dans son cœur et dans sa vie C'est l'histoire du battant, la fighting story Qui lâche rien dans son cœur, dans son monde, dans son esprit C'est l'histoire du battant, la fighting story Qui lâche rien dans son monde, dans son cœur et dans sa vie C'est l'histoire du battant, la fighting story Qui lâche rien... qui lâche rien Deinos : Effectivement, l’effet est sidérant C’est excellent à quelle point j’suis vivant J’confirme c'que tu dis, j’ai du jus dans l’moteur Dans ma sueur y’a du cœur, j’compte pas m’arrêter là J’ai gravi des obstacles, j’ai trouvé la parade Mais pris dans s’défiler, j’restait une proie chassable À chaque chose y’a son temps, chaque chasse à ses contours Les solutions d’hier sont à mettre au goût du jour Mais mes passions ne sont pas Passagère c’est sur ça Sur ceux j’doit rester droit Pour n’pas me faire avoir J’dois vibrer plus d’une fois Faire détonner ma voix Pour détrôner mon masque et sortir de l’isoloir Les apports… De chaque facettes de mon être Ne sont plus vraiment plus à négliger Car j’ai l’mord… pour trouver l’équilibre Entre les pôles actifs, de mon identité Je fournie un effort en r’lancant la machine En dérouillant le film, pour ficeler mon intrigue Facile j’tiens pas l’dire, le combat ne cesse pas Mais si l’être s’active les forces sont déculpaple Des coupables j’en trouverais 100, si j’n’assume pas l’défi De me réaliser, de peindre mon récit Des coupables j’n’en trouverais qu’un, en zieutant une glace En zieutant devant moi, je retrouverai mon espace Des coupables y’en a des tonnes, si doit tonner la basse La bas c’est la même chose, chacun doit s’voir en face En place, pour la suite, les battants tourne une page Autre phase du périple, âpres l’Recyclage de Rage C’est l’unification, Reforge de l’épée Plus solide plus complète, plus équilibré J’me construis consciemment désormais ça change tout Et les solutions d’hier sont à mettre au goût du jour
4.
Opération coup d’poing, pointage sur les barricades Nos vies sont des manifs, la paix est revendicable Philosophie de comptoir à mettre en pratique Les idées sont vivantes dès l’instant qu’elles s’appliquent Ouais j’ai pris au sérieux, mes idées lumineuses Bien qu’elles n’avaient de réaliste, pas grand-chose au départ Il a fallu la flamme d’un idéaliste heureux Pour voir jaillir les germes, du changement de l’histoire Guérir ma décision, première d’une longue série Qui viendra s’compléter par celle de s’aguerrir En rajoutant le A d’amour et d’avancement Je fais ma liste de vie, prioritairement. Lorsqu’un Homme décide, de tout son être de vivre Toutes ses cellules s’activent, son cœur se réanime Le septième souffle, se trouve, on l’a tous su Il ne reste d’impossible que ce qui n’est pas voulu Comment Comment ? Comment ça s’passe ? Prends donc confiance du cœur et d’l’anti poisse Comment Comment ? ça s’danse ? Prends de l’anti poisse du cœur et d’la confiance Les décisions sont grandes, quand grande est l’ambition Fais gaffe à c’qu’tu souhaites, t’en paieras l’addition C’est à peu près c’qui ressort de mon débat interne Tu veux la liberté , alors reprends les rennes De ta vie c’est ainsi, que s’poursuit l’aventure Les bases sont établies, désormais monte les murs Vis vraiment avec toi et vois ce qui en ressort Gérer la paix dans l’monde ? Commence par gérer ton corps Dans c’domaine y’ a du taf, y’a pas de crise du travail Y’a une place de patron, dans chaque homme, chaque entraille Si Nos corps sont des terres, qu’les puissants colonisent Les guerres d’indépendance se mènent dans nos cellules grise Comment Comment ? Comment ça s’passe ? Prends donc confiance du cœur et d’l’anti poisse Comment Comment ? ça s’ danse ? Prends de l’anti poisse du cœur et d’la confiance Coup de poing sur la table, sur les « i » qu’on délivre Délibère nos choix, comme s’tournent les pages d’un livre Même si des paragraphes nous demandent, plus de temps que d’autres Les chapitres s’enchaînent, pour déchaîner les nôtres Sur ma vie j’ai des droits, une société m’habite Ma bite, mes beats de cœur, j’suis l’beatmaker de mes rythmes Chef d’orchestre d’organe, d’orgasme à l’apogée A Chaque liesse de mon peuple, on me verra transcendé Coup de poing sur la table, fermer la parenthèse La story peut reprendre, mieux saisi est le thème La lumière chemine elle éclaire nos lanternes De mine lente et terne, à bille roulante et ferme A l’habile Billy, Billy haut Billy bas Des hauts des bas Billy, stabilise les débats Balisant tous ses blèmes, Billy brise les spirales Les spirales lentes et ternes, Billy combat son mal.
5.
On m'a dit les gens savent, j'ai répondu, les gens sèvent Les gencives saignante à force de trop brosser De trop bosser les gens s’esquintent la santé S'esquintent le talon, grince le parquet On m'a dit la fin arrive, je réponds, la fin d'un rêve La feinte d'un règne qui s'croyait supérieur Mais super antérieur aux principes « égaleurs » Et à l'heure qu'il est... Ce monde n'est pas qu'le leur On m'a dit la roue tourne, j'ai répondu la routine La roue terne qui veut... qu'on écrase son voisin C'voisin vociférant pour la fin de ce train-train Mais traînera devant la scène, l'erreur du rêve de gain On m'a dit c'est pas une vie et j'leur réponds c'est pas un vœu Et puis c'est pas à vous de m'expliquer ma mission Ma missive était claire, j'travaille à l'intuition Á l'intention de l’ancienne et d'la prochaine génération On m'a dit crois en l'autre, j'ai répondu , j'crois en l'Être J'crois en l'art, j'crois aux lettres et aux degrés de lecture Lecteur d'une planète à plusieurs natures, Naturellement je veux opter pour l'arme la plus pure On m'a dit K-Maro, j'ai répondu cas navrant Car j'suis un gars navré, des cas marelle sur nos écrans L'écart ils le produisent par la culture de masse Ils nous broient nos repères, qu'on s'identifie à la crasse On m'a dit des gros mots, j'ai répondu des gros merdes Les grands mots je les garde pour vous parler d'amour Amère est notre bête quand on veut sortir du four Les fous-rires interdits, on écoute les discours On m'a dit vas prendre l'air, j'ai répondu, j'vais prendre l'or J'vais prendre cher, saisir ma chance dans mon quotidien Quotient intellectuel comme arme sur mon chemin Cheminant par instinct... sur ce fil fin. On m'a dit mégapole, j'ai répondu, Méga-pale La pâleur de nos villes, pourquoi la cultiver Quand on sait que la déprime, y est toujours liée L'industrie d'la santé serai-ce une cause cachée ? On m'a dit c'pas fameux, j'leur réponds, c'est pas fini Et puis c'est pas fané, j'ai encore de la rage à recycler Sans ressasser l'passé, à part si c'est constructif Instructif maintenant, que ça devienne positif On m'a dit mais t'es fou, j'ai répondu métaphore Mais t'es fort, faramineux, t'as l’œil mais tu vois bleu Les poches de frustration remplies de la vie des autres L'avidité de ta lâcheté, veut rendre coupable l'audace des nôtres On m'a dit reste cool, j'ai répondu, « clic clic boom » Je kick lourd pour partager, l'énergie d'mes écrits Mes cris, je n'les étouffe, non, j'les sors artistiquement Ça anoblit le geste, ça gravit les échelons Car on m'a dit pas de blague, j'ai répondu pas de blème Plus j'suis blême, plus on me blâme, alors mon mal est à bannir Á bâtir est mon rêve, j'dois pas l'laisser s'enfuir S'en suivrait maléfisme, j’enrichirais l'empire On m'a dit mort aux vaches, j'ai répondu mort au moi Au moi d'émoi haineux, à l’ego deg de la vie De la victoire de l'âme, s'ouvrira l'paradis Parodique est notre ordre, d'illusion il s'nourrit Car on m'a dit marche ou crève, j'ai répondu j'vole et j'rêve Je rafle mon butin, soignant les plaies du monde honnête De mon divan j'écris les présages de mon être, Les prières planétaires, c'qu'on m'a dit j'le répète Car on m'a dit, c'est la crise, j'ai répondu c'est la crasse C'est le creux de l'histoire, et nous voici dans l'noir Les nerfs se « raidifient » si au loin on ne sait voir Que c'est la fin d'un cycle et que l'age d'or est à prévoir.
6.
Aie Aie Aie... Je laisse parler ma plume Sur le pas de ma porte se parchemine ma position Pâleur en pour-parler, les palissades se pourfendent J'ai des paillettes dans les paumes, un parapluie sous mon blouson Ma patrie sous mes pattes, la bave au pied je pars ailleurs J'apostrophe ma politique, pour bien parler de ma bataille Je participe sans tords à la plongée sous l’épiderme Le plein plaisir de mon esprit, m'apporte la preuve de mes trouvailles L'apologie de l'épidémie très peu pour moi, même dans le noir L'appétence pour la pendaison, j'suis pas partant pour la promouvoir Mes pensée malhabiles me pourchassent dans mes pires instants J'm'efforce de payer ma part et prendre le large pour un moment Les pipelettes s'empipotent et patati et patata Les partis se poursuivent jusqu'à pas d'heure et plus que ça Moi j'ai un plat du pied si la planète est penalty J'ai la potion du druide, ça c'est un elfe qui me l'a dit Alors ramper face au puissant, ses puits sans fond, sans grand pouvoir Stupide comme de prendre un parasol en Picardie La police se parfume à la justice pour guerroyer Contre une que le système a r population endu insoumis Les plaintes pourchassent toutes les peuplades devenues aveugles Les pansements ont pris l'eau, les parasites plongent dans les plaies Le paradis déploie ses ailes, se penche sur tout ce qui vaut la peine Les bonnes âmes brandissent des lettres en braille pour aiguiller les vrais Sous les pavés la page, j'pige pas les piges des quotidiens La piste est parsemée d’embûches, faut du prodige pour rester bien Certains pilonnent leurs potes, d'autres les portes pour ne pas être seul Pour sûr y'en a certains qui les portent dans leur cœurs Moi j'ai l'palpitant qui (POM POM POM) Quand j'parachute ma part de rêve Suffit qu'un beat fasse (BOOM BOOM shake) pour que ma peur m'accorde une trêve J'ai des plans sur la planète et des placements de capitaux Mais please n'en parle pas trop, j'ai pas encore serré l'étau Apparemment les paresseux ne l'seraient pas dans leur légende Dans l'épopée d'leur vie, c'est une question d'initiative La parole participe à l'élaboration du monde Une prière est une graine dans la conscience collective Les poutres se parcourent et passent par-dessus l'enfer La portée de son corps et important pour ne pas tomber Partir paré, faut s'préparer pour prendre les bons passages Préférer le prairies, au bric à brac mauvais présages Ma propre épée j'aiguise pour parvenir à tout tenir Une prose que je perfectionne, pour détenir patience pépère Je postillonne pour arroser mes vers, mes rêves n'ont pas de limites A part celle de l'amour, la poésie polie l'éclaire Ma pirogue tient le cap, les piranhas se pètent les dents Mon précieux parchemin se déploie de présent en présent La lettre "P" dans l'paragraphe, y'en a pas mal tu peux compter Les contraintes sont piédestal pour parvenir à tout péter.
7.
Pour Ceux qui ont grandi entre misère et calme, qui n'ont pas su s'positionner entre lumière et marbre À ceux qu'on a poussés à renier leur entourage, voici quelques rayons du magasin, enfant d'la rage Donc c'est pour ceux... qui ont grandi trop vite Et qui ne peuvent que rigoler quand on leur parle de république À ceux à qui on a masqué la porte de secours Mais ferme ton portail et dis toi bien qu'on fera le tour C'est pour ceux qui ont marché, la tête baissée dans l'mur Tant ils se sont inclinés sous le poids de l'inculture À ceux mariés... aux chutes, au mal de vivre Votre combat est le mien et vous en parler me délivre Donc pour ceux mal orienté, guidé afin d'gonfler Les effectifs des ouvriers, d'moins en moins qualifié À ceux sans cote de maille, sans bagage, comme ils disent J'annonce que voyager, ça remplit les valises C'est pour ceux qui font des loopings sur des chemins soi-disant plat Qu'on commencé à croire aux blablablas de nos états À ceux taillé dans l'rock, les blocks mal cimentés Si l'enfer est visible, à nous d'construire la face caché Donc c'est pour ceux sont pour nous, pour nous en quête d'un autre D'une autre chose en nous, d'une paix qu'on doit s'faire notre C'est pour ceux sont pour nous, pour nous en quête de vie D'une vie loin des broutilles, loin des saccages qu'on applaudies Pour ceux qui en on besoin, pour ceux qui s'guident aux signes Pour ceux qui tourne la page, pour ne pas salir celle du livre Pour ceux qui s'reconnaissent, pour ceux qui cherche le nord Pour ceux qui on compris qu'c'était en eux qu'ce trouvé l'or ♫♫♫ Pour ceux d'ma décennie, pour ceux d'avant, ceux d'après Sans défense dans une guerre qu'on qualifie de progrès Pour ceux marié aux vices par peur de rester seul Même un être seul, pour retrouver sa boussole   Pour lâché dans l'ombre, nourrie aux flashes obscures À la merde paillettisé, qualifié de culture Pour ceux lâché dans l'vide, avec des trous dans l'parachute J'envoi un voile d'urgence, un récital de mas luttes   C'est pour ceux dont l'jerrican, s'enflamme d'une étincelle Qui s'on tenté de se maitriser, en fumant de la zeb C'est pour ceux pour qui ça n'suffit pas, plongé dans la spirale Trouver un exutoire afin d'recycler votre rage C'est pour ceux dont l'mal empire, brouillé avec la vie Et qui on constaté que la mal chance les poursuivent C'est pour ceux dans le cercle, infernale des rancunes La vie s'ouvre aux ouverts mais se ferme dans l'amertume Donc c'est pour ceux sont pour nous, pour nous en quête d'un autre D'une autre chose en nous, d'une paix qu'on doit s'faire notre C'est pour ceux sont pour nous, pour nous en quête de vie D'une vie loin des broutilles, loin des saccages qu'on applaudies Pour ceux qui en on besoin, pour ceux qui s'guident aux signes Pour ceux qui tourne la page, pour ne pas salir celle du livre Pour ceux qui s'reconnaissent, pour ceux qui cherche le nord Pour ceux qui on compris qu'c'était en eux qu'ce trouvé l'or  ♫♫♫ C'est pour ceux dont l'enfance, c'est achevé d'un coup Coup de théâtre traumatisant, coup de marteau qui change tout À ceux dont les blessures sont encore saignante L'amour possède les files afin d'recoudre les plaies béantes   C'est pour ceux trahit, par l'monde des bizounoursse Qui subissent l'électro-choque de la cruauté des chiens À ceux piqué à vif, dés l'entré dans leurs couches Abusé par le type censé vouloir leurs biens   Pour ceux qui sont faya, de la drogue pour se recaler Pour assumer le spontané de leur envie d'aimer Pour ceux qui s'trompe de route, égaré en chemin J'l'ai compris, ouais c'est vrai, faut savoir d'où l'on vient   C'est pour ceux jamais content, toujours un trucs qui manque La paix se trouve en nous, pas dans les comptes en banques Car de l'est← à l'ouest→, du sud↓ au nord↑  Pour ceux qui on compris qu'c'était en eux que se trouvé l'or. ♫♫♫
8.
Ce n’est pas l’moment d’flancher, de flasher sur le vide De frissonner de flegme face à la vue d’la rive L’effort touche à sa fin, juste avant l’évolution Demain, une autre histoire, donc aujourd’hui on tient bon Lâche rien, limite la casse, bientôt le roue ne-tour On tire des l’çons d’la page, mais l’encre y coule encore Même si son dernier mot sera un point tout court A nous de faire en sorte qu’il n’augure pas la mort L’espoir reste permis même si noir est le tableau Sous la neige les graines, sous la glace le plan d’eau Important d’purger l’hiver, de vivre c’qu’on a à vivre De le relativiser et d’s’servir de c’qu’il indique Ce ne pas l’moment d’flancher de déboucler la boucle Franchement fait c’que tu veux, mais moi c’n’est pas la fin d’ma routes Le raid ce perpétue et les rides s’accumule Mais dès qu’l’rideau se lève chacun quitte sa bulle Dernière étape du périple, la suite c’est le début L’Age d’or ce constitue de tout c’qu’on a vécu De c’qu’on en a tiré afin d’en ressortir plus fort C’est l’temps du point finale, non pas celui du point mort L’Age d’or arrive en balle, à nous d’orienter le contrôle D’arrimer nos navires afin de traverser les pôles De dépâlir nos visages, pour contrôler l’virage Viser le but commun, de la paix sur nos villages Tenir l’coup même s’il faut rebondir sur les cordes du ring Tenir l’anneau d’alliance, nous rassembler dès que possible Ça ressemble au temps fort des histoires précédentes C’est l’ moment de rien lâcher, car nos survies en dépendent Dépendent de maintenant et dans le creux d'la vague On peut tenir le coup en surfant sur ses larmes ce raccrocher au branches, ou se decrocher du tronc Car descendre d'un échelon peut être une preuves de progression Alors lâchons les fauves, faut voir c'qu'on leur infligent, Allions la rage au bide, avec une construction solide Solide et solidaire retrouvons la force de faire Faisons pâlir nos aires de résigné suicidaire Si j'vous dit de tenir bon, c'est bon dans le bon sens, C'est des bon sang de bon soir, pour faire valser l'ignorance Faire danser nos fardeaux, qu'ils cessent de nous peser Au moins pour cinq minutes, afin d'voir la vie comme elle est. Si j'vous dit de tenir bon, c'est qu'des solutions se trouve Dans la persévérance, de la clarté en eau trouble choisir, tenir sans fuir, faire front trouver l'courant De l'émancipation, le cour d'eau du vivant Les sources existent toujours, tari de mille façon Le recyclage de rage, une part d'ma combinaison Chercher l'utilité de la souffrance, et puis cristalliser le message dans celle-ci, conseil a l'unanimité A l'humaine condition tenir bon je lui souhaitent La fin d'une journée, la seul chose qui nous restent A part mes impressions j'n'ai rien à vous promettre Ce relever en son être, ça relève bien d'une quête La flamme primitive qui articule une vie Tenir bon pour guérir, le ch'min qui nous suffit En premier lieu d'un changement magistrale Un équilibre qui s'vit est un équilibre qui soigne. C'est c'que j'souhaite, devant les évidences Tenir bon pour trouver, l'équilibre d'inteligence C'est c'que j'souhaite, j'en ai fait plus d'un texte Une promesse que j'répète, que j'm'atelle à transmettre.
9.
La fin se veut cruciale, épopée marginale L'hiver à rendu l’âme, le poisson ses écailles Nos écueils... parfois s'écrivent tout seuls Quand les forces de l'auteur, peu à peu perdent le fil Finalement... On s'retrouve à s'guérir À se rendre le deuil, de la rage possible On a rayé nos carcasses, certains on percé l'moteur Lâchés sans filet dans leur trou noir personnel Que la paix les accompagne, les retrouve et les répare Qu'ils repartent ou bien reposent, en paix et sans histoires Sans histoires inachevées, à mon tour je m'excuse J'accorde mon bon souvenir, aux cœur qui se diffusent Que la paix les soulage, les grandisse, les apaise Qu'il apparaissent ou reposent en paix et sans querelles Sans querelles inexpliquées, moi j'm'excuse à mon tour J'accorde ma paix , de corps aux cœurs d'amour ... C'est la fin d'un monde ... L'histoire qui nous succombe … J'la respire avec toi ... On r'part une nouvelle fois … C'est la fin de l'histoire … Un nouveau point d'départ … Sans retard de retour …. Départ d'un nouveau tour Je marque le coup, afin d'moins l'accuser Trop souvent sans rien dire, finit par condamner C'est con d'canner... mais que veux'tu ? Quand trop longtemps ça grimpe, la pression explose et tue C'est la fin pour tout l'monde, bientôt les sacs se vident J'essaie de n'pas l'percer, pour garder l'essence de vie Garder l'espoir de dire, un jour prochain j’espère Qu'le temps a fait l'affaire, l'Histoire se récupère Car cette fin créera du vide, que la vie va combler Attendez vous à r'partir, un cycle va r'commencer Ainsi soit'il... ce sera comme avant Ou rien n'sera pareil, on évolue avec le temps Cette fin je la célèbre, J'la serre une dernière fois Vivre les choses à fond, c'est salvateur je crois Alors pas d'regrets... ou alors pas pour toujours et J'accorde ma paix, de corps aux cœurs d'amour ... C'est la fin d'un monde ... L'histoire qui nous succombe … J'la respire avec toi ... On r'part une nouvelle fois … C'est la fin de l'histoire … Un nouveau point d'départ … Sans retard de retour …. Départ d'un nouveau tour Dans l'fond j'veux pouvoir vivre, ma danse en liberté Qu'ça soit permis à tous, devenus équilibrés Légers, mariés à l'air, au feu, à l'eau, la terre Ici enfant du monde, en cours est le transfert J'me suis initié... C'est ainsi dans l'nouveau monde Pas d'maître, mais des exemples, des questions, des réponses Des référents pas supérieurs, ça tourne selon l'domaine Nos forces, nos stratagèmes, j'étudie l'phénomène J'sentais qu'c'était l'moment, j'me suis laissé porter Après mon recyclage... j’entame Libre qui est équilibre... c'est l'titre de mon Histoire Et sachez que la fin est un nouveau point d'depart Car maintenant je suis cap, able to be human De maintenir mon cap, dans l’œil de la tornade Alors en milieu stable, en édifice solide J'peux soutenir un pilier, en être un sera ma prochaine cible Ravi d'être à l'image du battant... Dans une opération coup d'poing On m'a dit que l'épée était pour ceux Qui tenaient bon jusqu'à la fin... point Fin...

about

Mai 2015
Enregistré, mixé, mastérisé par EMI LAJAR dans la GROTTE
Texte & Rap: Deinos MC
Instru : AndCo, Ak & Gedeon, Alex Labart, Deinos
Reims, Châlons en Champagne...

credits

released May 9, 2015

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Deinos MC Châlons En Champagne, France

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